Le PAM renforce les capacités des ministères centrafricains avec du matériel

Le 8 août 2024, le Programme Alimentaire Mondial (PAM) a remis des véhicules, des motocyclettes et du matériel informatique à six ministères centrafricains.

Ces équipements visent à renforcer les capacités de ces ministères dans la lutte contre la malnutrition et l’insécurité alimentaire. Dr Housainou Tall, représentant du PAM en Centrafrique, a souligné que le PAM avait identifié les besoins en moyens de transport et avait décidé d’apporter son soutien au gouvernement centrafricain pour améliorer la lutte contre la malnutrition. Il a exprimé le souhait que le partenariat entre la RCA et le PAM se poursuive, affirmant que le PAM est toujours prêt à soutenir le gouvernement pour relever les défis liés à la sécurité alimentaire.

Le Premier ministre, Félix Moloua, a exprimé sa gratitude envers le PAM pour ce geste important, soulignant qu’il arrive à un moment crucial. Il a rappelé l’engagement du gouvernement à améliorer les conditions de vie de la population et a insisté sur la nécessité pour le gouvernement d’être régulièrement présent sur le terrain pour encourager la population.

RCA : le PAM accompagne le gouvernement dans la mise en œuvre des cantines scolaire

Les autorités centrafricaines et les cadres du PAM s’organisent dans le cadre de la mise en œuvre du programme des Cantines scolaires.

 

C’est dans cette logique que le président centrafricain, Faustin Archange Touadéra a accordé une audience, le 11 avril 2024, à une délégation du Programme Alimentaire Mondial (PAM), conduite par Margot Van der Velden , Directrice Régionale du PAM pour l’Afrique de l’Ouest et Centrale.

Margot Van der Velden a indiqué après l’audience que les discussions avec le président de la République portaient sur la mise en œuvre du programme des Cantines scolaires et le PAM est sélectionné comme partenaire privilégié pour appuyer le gouvernement.

Pour elle, la distribution des aliments locaux aux enfants répond aux problèmes d’éducation des enfants, de leur santé nutritionnelle et constitue aussi un moyen de soutien à l’économie intégrée basée sur la production locale.

Elle a également souligné que les échanges étaient axés sur le nombre des enfants à atteindre afin de mobiliser les partenaires techniques et financiers autour de ce programme.