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Politique, économie et tourisme au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce lundi traitent de nombreux sujets dont l'entame du Maroc de son deuxième mandat triennal au…

Les quotidiens marocains parus ce lundi traitent de nombreux sujets dont l’entame du Maroc de son deuxième mandat triennal au sein du CPS de l’UA, la hausse des prix du carburant, la relance du tourisme après la réouverture des frontières terrestres et maritimes et bien d’autres sujets.+Le Matin+ écrit que pour son deuxième mandat triennal au sein du CPS de l’UA, le Maroc, de par son expérience et ses efforts soutenus qui remontent à longtemps en faveur de la consolidation de la paix et de la sécurité en Afrique, se consacrera à impulser un nouvel élan aux actions de ce Conseil.

Le Royaume figure en effet au premier rang des pays qui ont participé aux opérations de maintien de la paix sur le continent africain. Ses forces de maintien de la paix sont actuellement présentes en République centrafricaine et en République démocratique du Congo, et ont été déployées avant dans divers pays du continent tels la Somalie, la Côte d’Ivoire ou l’Angola, rappelle le quotidien.

Le Royaume s’emploiera aussi à donner, durant son mandat au sein du CPS de l’UA, la vigueur qui convient au concept de diplomatie préventive, en particulier dans son volet portant sur la médiation pour la résolution des crises qui agitent le continent africain, estime-t-il.

Une telle détermination a été exprimée par l’ambassadeur représentant permanent du Royaume auprès de l’UA et de la CEA, Mohamed Arrouchi, qui a réaffirmé que «le Royaume du Maroc adhère pleinement et de manière responsable, aux côtés des pays africains frères, dans les chantiers de réforme du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine». « L’approche marocaine, à cet égard, repose sur le renforcement de la transparence des méthodes de travail et de la crédibilité du processus de prise de décision au sein du Conseil », avait déclaré M. Arouchi lors d’une réunion du CPS tenue début avril, cité par la publication.

+L’Economiste+ qui s’intéresse à l’inflation galopante, aux difficultés d’approvisionnement, et à la hausse vertigineuse du prix du fret, relève que l’impact de la guerre en Ukraine plonge le monde et l’entreprise dans beaucoup d’incertitudes.

Un cycle difficile à vivre, souligne d’emblée Chakib Alj, président de la CGEM, invité au Club de L’Economiste. Le représentant du patronat revient sur les principales préoccupations des chefs d’entreprises, notamment les délais de paiement ou encore la transparence dans les marchés publiques.

+L’Opinion+ indique que les ports de Mohammedia et de Nador sont prêts pour recevoir le GNL.

Lors d’un échange avec des médias nationaux, tenu récemment, la ministre en charge de la Transition énergétique, Mme Laila Benali a affirmé que cette infrastructure gazière qui comprend des gazoducs, des ports et des unités de stockage et de regazéification ne permettra pas uniquement de garantir une énergie compétitive au secteur de l’électricité mais également au secteur industriel qui peine à avoir accès au gaz naturel aujourd’hui.

La ministre a également insisté sur l’importance de la construction d’unités de regazéification, faisant savoir que la réalisation de la souveraineté énergétique en matière de gaz naturel passe par la transformation du gaz liquéfié (GNL) qui doit se faire sur le territoire national et l’espace maritime marocain, qu’elle soit au niveau d’une centrale flottante ou d’un terminal terrestre.

Elle a appelé les industriels à procéder à leurs calculs économiques et financiers pour statuer sur la solution la plus immédiate, notant que, selon l’ANP, les ports qui sont prêts relativement pour recevoir le GNL sont ceux Mohammedia et Nador.

+Al Bayane+ estime que depuis la réouverture des frontières aériennes et maritimes, les touristes étrangers sont de plus en plus nombreux à venir visiter le pays.

Dans l’ancienne médina de Tanger, les groupes de touristes sont de retour. Souvent accompagnés de guides touristiques, les voyageurs découvrent et s’abandonnent à la magie de la médina. Les bazaristes et autres commerçants dépendant principalement du tourisme durement impacté par la crise sanitaire, sont confiants et ont de l’espoir, fait observer la publication.


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